Durée de l’intervention : environ deux heures.
C’est l’opération la plus fréquente. Elle offre de meilleurs résultats, en termes de perte de poids et en termes d’effets secondaires par rapport à l’anneau gastrique et est moins agressive que le bypass puisqu’elle permet de conserver un tiers de l’estomac. Elle consiste à supprimer les deux tiers de l’estomac et notamment la partie qui présente le plus de cellules qui produisent la ghréline, une hormone qui agit au niveau du cerveau pour stimuler l’appétit. Lorsqu’on retire cette partie de l’estomac, la production de ghréline chute… et on a tout simplement moins faim ! Par ailleurs, comme l’estomac ne ressemble plus qu’à un tube de petit diamètre (volume de 15 à 20 ml soit environ celui d’un petit verre), il n’a plus la capacité d’assurer sa fonction de réservoir, ce qui limite la quantité de nourriture ingérée et engendre un sentiment de satiété précoce. Les aliments passent plus rapidement dans l’intestin grêle sans entraîner de problème de digestion. Le risque de carences nutritionnelles est donc limité mais néanmoins présent, ce qui nécessite un suivi.
Les principaux effets secondaires de cette intervention sont :
- le reflux gastrique (remontées acides dans la partie inférieure de l’œsophage) : un traitement anti-acide sera instauré d’emblée après la chirurgie;
- une possible dilatation de l’estomac qui pourra être évitée en respectant les consignes diététiques post-opératoires;
- d’éventuels problèmes de constipation qui seront également systématiquement pris en charge.
Parmi les complications sévères rencontrées juste après l’opération, on compte :
- la fistule : il s’agit d’une fuite de liquide digestif au niveau de la ligne d’agrafage nécessitant généralement la réintervention chirurgicale dans les vingt-quatre ou vingt-huit premières heures;
- les hémorragies digestives.
C’est l’opération la plus fréquente. Elle offre de meilleurs résultats, en termes de perte de poids et en termes d’effets secondaires par rapport à l’anneau gastrique et est moins agressive que le bypass puisqu’elle permet de conserver un tiers de l’estomac. Elle consiste à supprimer les deux tiers de l’estomac et notamment la partie qui présente le plus de cellules qui produisent la ghréline, une hormone qui agit au niveau du cerveau pour stimuler l’appétit. Lorsqu’on retire cette partie de l’estomac, la production de ghréline chute… et on a tout simplement moins faim ! Par ailleurs, comme l’estomac ne ressemble plus qu’à un tube de petit diamètre (volume de 15 à 20 ml soit environ celui d’un petit verre), il n’a plus la capacité d’assurer sa fonction de réservoir, ce qui limite la quantité de nourriture ingérée et engendre un sentiment de satiété précoce. Les aliments passent plus rapidement dans l’intestin grêle sans entraîner de problème de digestion. Le risque de carences nutritionnelles est donc limité mais néanmoins présent, ce qui nécessite un suivi.
Les principaux effets secondaires de cette intervention sont :
- le reflux gastrique (remontées acides dans la partie inférieure de l’œsophage) : un traitement anti-acide sera instauré d’emblée après la chirurgie;
- une possible dilatation de l’estomac qui pourra être évitée en respectant les consignes diététiques post-opératoires;
- d’éventuels problèmes de constipation qui seront également systématiquement pris en charge.
Parmi les complications sévères rencontrées juste après l’opération, on compte :
- la fistule : il s’agit d’une fuite de liquide digestif au niveau de la ligne d’agrafage nécessitant généralement la réintervention chirurgicale dans les vingt-quatre ou vingt-huit premières heures;
- les hémorragies digestives.